LYON, France / RUGBY, Royaume-Uni : Les cas de cancer de la bouche, au Royaume-Uni, vont augmenter de près d'un quart, d'ici 2030. Le Centre international de recherche sur le cancer, basé à Lyon, prédit qu'un peu moins de 8.000 nouveaux cas de cancer de la bouche seront diagnostiqués chaque année au Royaume-Uni, ce qui sera équivalant à une augmentation de 23 pour cent par rapport à 2008.
En outre, les taux de mortalité par cancer de la tête et du cou atteindront plus de 2700, près de 29 pour cent de plus qu'en 2008 (2.134 décès).
Selon le Dr Nigel Carter, directeur général de la Fondation britannique pour la santé dentaire, basée à Rugby, la possibilité de pouvoir réduire l’augmentation prévue dépend de la population puisque les risques de cancer de la bouche sont entièrement associés au mode de vie.
"La hausse prévue de la prévalence du cancer de la bouche et des taux de mortalité devrait être une préoccupation pour nous tous. Les choix de vie qui mettent la santé en danger sont entièrement évitables, et les patients doivent être éduqués au sujet de leurs risques", a dit Carter. "Dans le passé, le cancer de la bouche était une maladie qui touchait surtout les hommes de plus de 40 ans, mais ce n'est plus nécessairement vrai. Les femmes et les jeunes sont de plus en plus à risque et nos habitudes quand il s’agit de la boisson, de fumer et de notre alimentation sont une cause de préoccupation. "
"Le tabagisme demeure la principale cause du cancer de la bouche, et nous avons vu pour la première fois, les admissions à l'hôpital à cause de l'alcool passer le cap du million."
Selon Carter, une mauvaise alimentation et l'adoption de pratiques sexuelles dangereuses mènent à la propagation du virus du papillome qui est sexuellement transmissible. Ceci étant d'autres habitudes de vie qui sont des facteurs de risque connus pour le cancer de la bouche.
Les changements démographiques des personnes atteintes de cancer de la bouche signifient que plus de personnes qu’auparavant auraient besoin d'être conscientes de ces facteurs de risque.
Si les gens persistent à mener un mode de vie risqué, il est vraiment important que les patients soient informés des signes avant-coureurs du cancer de la bouche. En faisant cela, les taux de survie sont considérablement améliorés. Une personne sur deux, diagnostiquée avec un cancer de la bouche meurt sans diagnostic précoce. Cependant, la détection précoce de la maladie peut accroître les taux de survie à cinq ans, à 90 pour cent.
"Encourager les patients, entre les check-up, à surveiller des ulcères qui ne guérissent pas dans les trois semaines, des plaques rouges et blanches et des grosseurs ou des enflures inhabituelles dans la bouche pourraient sauver des vies. Si vous trouvez un de ces symptômes pendant un check-up, il est préférable de référer le patient à un spécialiste pour lever tout doute," recommande Carter.
Selon le Dr Nigel Carter, directeur général de la Fondation britannique pour la santé dentaire, basée à Rugby, la possibilité de pouvoir réduire l’augmentation prévue dépend de la population puisque les risques de cancer de la bouche sont entièrement associés au mode de vie.
"La hausse prévue de la prévalence du cancer de la bouche et des taux de mortalité devrait être une préoccupation pour nous tous. Les choix de vie qui mettent la santé en danger sont entièrement évitables, et les patients doivent être éduqués au sujet de leurs risques", a dit Carter. "Dans le passé, le cancer de la bouche était une maladie qui touchait surtout les hommes de plus de 40 ans, mais ce n'est plus nécessairement vrai. Les femmes et les jeunes sont de plus en plus à risque et nos habitudes quand il s’agit de la boisson, de fumer et de notre alimentation sont une cause de préoccupation. "
"Le tabagisme demeure la principale cause du cancer de la bouche, et nous avons vu pour la première fois, les admissions à l'hôpital à cause de l'alcool passer le cap du million."
Selon Carter, une mauvaise alimentation et l'adoption de pratiques sexuelles dangereuses mènent à la propagation du virus du papillome qui est sexuellement transmissible. Ceci étant d'autres habitudes de vie qui sont des facteurs de risque connus pour le cancer de la bouche.
Les changements démographiques des personnes atteintes de cancer de la bouche signifient que plus de personnes qu’auparavant auraient besoin d'être conscientes de ces facteurs de risque.
Si les gens persistent à mener un mode de vie risqué, il est vraiment important que les patients soient informés des signes avant-coureurs du cancer de la bouche. En faisant cela, les taux de survie sont considérablement améliorés. Une personne sur deux, diagnostiquée avec un cancer de la bouche meurt sans diagnostic précoce. Cependant, la détection précoce de la maladie peut accroître les taux de survie à cinq ans, à 90 pour cent.
"Encourager les patients, entre les check-up, à surveiller des ulcères qui ne guérissent pas dans les trois semaines, des plaques rouges et blanches et des grosseurs ou des enflures inhabituelles dans la bouche pourraient sauver des vies. Si vous trouvez un de ces symptômes pendant un check-up, il est préférable de référer le patient à un spécialiste pour lever tout doute," recommande Carter.