L'odeur des livres
Il est de notoriété publique que tous les livres ont une odeur. C'est ce qui fait non seulement leur particularité mais aussi la joie du lecteur lorsqu'il ouvre un roman ou un manuscrit ou une
chronique ou... Chaque écrit a son histoire, mais aussi son odeur propre, un peu comme les vins qui ont une robe et un arôme qui les rend si unique. C'est cela qui manque si cruellement aux livres électroniques... Mais qu'à cela ne tienne ! Le site CafeScribe.com a annoncé qu'en septembre les clients recevraient, en plus de leur achat, un ensemble de pastilles odoriférantes...
Une fois le sticker collé sur l'ordinateur, il donnera l'apparence que le lecteur tient en main un vieux bouquin. L'odeur d'un livre est par ailleurs essentielle, un sondage effectué auprès de 600 étudiants l'a prouvé. L'étude a été menée par Zogby International et montre que 60% des étudiants préfèrent acheter un ouvrage d'occasion plutôt que d'acquérir des e-books, bien que ceux-ci soient un tiers moins chers.
De plus, 33% des interrogés donnent une odeur de moisi à leur livre tandis qu'un dixième leur associe un parfum de café frais. Ainsi, il y aura plusieurs échantillons que le client pourra utiliser à sa guise. Les ventes d'ouvrages électroniques peinant à décoller, le patron de Cafescribe, Bryce Johnson, espère avoir découvert le bon filon.
chronique ou... Chaque écrit a son histoire, mais aussi son odeur propre, un peu comme les vins qui ont une robe et un arôme qui les rend si unique. C'est cela qui manque si cruellement aux livres électroniques... Mais qu'à cela ne tienne ! Le site CafeScribe.com a annoncé qu'en septembre les clients recevraient, en plus de leur achat, un ensemble de pastilles odoriférantes...Une fois le sticker collé sur l'ordinateur, il donnera l'apparence que le lecteur tient en main un vieux bouquin. L'odeur d'un livre est par ailleurs essentielle, un sondage effectué auprès de 600 étudiants l'a prouvé. L'étude a été menée par Zogby International et montre que 60% des étudiants préfèrent acheter un ouvrage d'occasion plutôt que d'acquérir des e-books, bien que ceux-ci soient un tiers moins chers.
De plus, 33% des interrogés donnent une odeur de moisi à leur livre tandis qu'un dixième leur associe un parfum de café frais. Ainsi, il y aura plusieurs échantillons que le client pourra utiliser à sa guise. Les ventes d'ouvrages électroniques peinant à décoller, le patron de Cafescribe, Bryce Johnson, espère avoir découvert le bon filon.
