Articles

Affichage des articles du juin, 2016

La consommation de sucre dans nos aliments

Image
L’ Alliance for a Cavity Free Future (ACFF), une organisation menée par un groupe d’experts dentaires ont mis leurs forces en commun pour veiller aux changements concernant les pratiques de soins dentaires dans le monde. L’ACFF et Colgate ont mené une enquête sur la consommation de sucre dont ils livrent les résultats. La quantité de sucre quotidienne recommandée est inférieure de 10 % à l’apport énergétique total, l’idéal étant inférieur à 5%. Mais plus de 60 % des Européens admettent en consommer davantage. Consommez-vous plus de sucre que vous ne le pensez ? Des Européens sous-estiment ces quantités... Que fait le sucre à vos dents ? 59 % des Européens aimeraient collaborer avec leur équipe dentaire afin d’améliorer leur hygiène bucco-dentaire. 63 % des Européens aimeraient que leur équipe dentaire utilise un système de notation pour mieux leur expliquer leur risque de caries. 4 étapes simples pour réduire la consommation de sucre : vérifier les étiquettes des produits, boi...

Effets indésirables des rayons X

Image
• Les ionisations et excitations produites par les rayons X sont à l’origine de réactions radiochimiques aboutissant à la formation de radicaux libres et d’espèces réactives de l’oxygène. • La principale cible moléculaire cellulaire est l’ADN en raison de sa radiosensibilité (des lésions sont décelables, in vivo, pour des dose absorbées aussi faibles que quelques milligrays), de la gravité potentielle  de l’expression de ses atteintes lors des phases de réplication et de transcription. • De nombreuses lésions radio-induites sont réparables: modifications structurales, lésions des bases, modifications des sucres, ruptures simple chaîne, naturellement fréquentes car produites par le métabolisme oxydatif, peuvent être détectées, puis éliminées tant que leur taux de production n’excède pas les capacités des systèmes de réparation de l’ADN ; seules, les ruptures double chaîne et les lésions multiples localisées, plus spécifiques des rayonnements ionisants, sont plus difficilement r...

Les Torus ou Torii de la cavite´ buccale, pourquoi ?

Image
L’etymologie du torus remonte au latin. Ce terme evoquerait, soit un coussin, soit un epaississement (lump en anglais). En pratique, il s’agit d’une exostose. Epidemiologie des torii [1–3]. Les toriis sont, soit me´dians au niveau du palais, soit situe´s de part et d’autre de la face me´diale de la mandibule ; ces derniers sont parfois unilate´raux. Dans l’he´misphe`re nord, leur frequence serait d’un peu moins de 10 % des sujets, toutes localisations confondues. Elle serait plus importante autour de 8 % (6–40 %) pour les localisations mandibulaires et moins (1 %) pour les localisations palatines (< 1–20 %). Il y aurait une nette variation entre les populations, avec une fre´quence plus e´leve´e chez les populations blanches et jaunes (caucasiens, japonais, et surtout esquimaux et vikings [3] ; cette frequence e´leve´e permettant de suivre la migration de certaines populations en Islande, Groenland et meme en Ame´rique). Ces torii apparaissent durant l’adolescence et sont ensuit...

Le layering arrive sur le dentaire

Image
Alors que les consommatrices decouvrent encore ce qu’est le layering en soin, cette succession de cremes appliquees en fines couches, funivers bucco-dentaire se I'approprie deja. Chez Unilever, la marque Regenerate propose en pharmacie depuis un an un serum et un dentifrice pour restaurer I’email des dents. En 2016, c'est Oral B chez P&G qui lui emboTte le pas avec I'Accelerateur de blancheur 3D White Luxe, a utiliser apres le brassage. C’est aussi I'occasion pour la marque d'axer sa communication autour de la r o u ­ tine beaute» des dents, avec trois produits a utiliser successivement (dentifrice, accelerate s et bain de bouche) et sa derniere brosse electrique. Le tout, porte par une egerie capable de secouer le m arche: Shakira.

La Prémédication Anxiolytique ( dentalespace.com)

Image
La dentophobie  est l’angoisse, la peur, voir la phobie liée aux soins dentaires. Elle touche 30% des patients et tro uve bien souvent son origine dans des expériences traumatisantes pendant l’enfance. Bien que certains de nos patients puissent avoir une nature anxieuse – non spécifique aux soins dentaires – les patients souffrant de dentophobie sont très difficiles à prendre en charge car : ils retardent souvent les soins jusqu’aux dernières limites leurs réactions émotionnelles pendant les soins sont exacerbées et irrationelles QUESTIONNER SYSTEMATIQUEMENT Pour ne pas passer à côté d’un patient dentophobique, ce qui pourrait revenir à entretenir sa phobie, il est très utile de poser systématiquement la question au moment de l’entretien initial. A la question :  »  Avez-vous peur des traitements dentaires? Si oui : cotez votre peur de 0 à 10  (1= peur minimale ; 10 = peur maximale).  A partir de 8, on peut considérer que le patient est dentophobi...